Petit moment de repos

Dans les couloirs de l’organisation de la lune rouge, se trouvait des petits papillons de papiers. Ceux-ci virevoltait, volaient de tout sens et tout coté. Doucement, ces mêmes papillons formèrent un pied, puis un autre. Remontant fermant une jambe et puis l’autre. Tout en marchant, Konan se matérialisa en femme solitaire au regard vide, dont elle était si bien. La jeune femme repensa à ce qu’elle avait fait à Hidan, tout à fait hors elle dans le sens qu’elle ne ferait jamais ça… Mai bon, elle voulait voir s’il allait bien et s’il allait chialer comme d’habitude, car là le voir aussi calme était réellement nouveau à ses yeux… Bref, il l’avait surement fait en pensé pour ne pas mettre en rogne la kunoichi. Le bruit de ses pas ricochaient contre les parois froide, humide, légèrement brillant par l’eau causé par l’humidité. Ses bruis démontrait la solitude des lieux. Démontrant le calme qu’on pouvait ressentir étant seul. Finalement, la jeune femme s’arrêta devant une porte, ferma de nouveau les yeux, se retournant délicatement pour entrouvrir se bout de bois qui la séparait de ses affaires personnel. Dans se même moment, elle senti la présence de quelqu’un, se tournant vers ce nouvel arrivé. De son air froid, Konan regardait la silhouette se rapprocher, passant de temps en temps devant de petite chandelle qui fit voir à la belle que c’était un homme assez grand, sur de lui. Bref, rien de tout ça lui dit réellement qui pouvait être, car les deux seuls hommes qui avait ici en ce moment dans cette endroit complètement désert, était Pein et le chieur de première classe. Toute fois, il en restait que cela ne pouvait être Hidan… Lui qui détestait tout le monde.

La petite fleure reprit ses esprits et rentra dans sa chambre, refermant la porte derrière elle. Dans la petite pièce, on pouvait retrouver un bureau qui était situé à sa gauche. Celui-ci était rempli de papiers, de livre et pleins d’autre sorte de document. À sa droite, se trouvait une armoire. Qui elle était remplie d’arme et de vêtement sec et propre. Devant la belle se trouvait un lit, un lit simple, vieux et qui était plus au moins confortable. Dans sa petite examination, elle remarqua que toute chose lui appartenant avait disparu… Toute chose avait été remplacé par les trucs personnel de son supérieur, Itachi-sama.

* Putain, qu’es-ce qu’il est con… Bon, alors je devine que ma chambre est maintenant dans le fin fond du repaire… Génial! Merci, c’est très gentil de ta part Uchiha à la con… *

Sur cette pensé plutôt disons, pas très joyeuse et heureuse, la douce se rappela qu’elle avait laissé quelques truc dans les appartements de son ami. Non, elle ne couchait pas avec lui heureusement! C’est plutôt parce que normalement, quand les deux shinobi s’arrêta dans ce trou à rat, c’était que pour prendre une mission ou soit pour s’arrêter un peut et prendre quelques trucs et repartir. Donc, Konan avait laissé sous la permission de son coéquipier d’y laisser au moins des vêtements propres…

La kunoichi sorti de sa chambre devenu sans même sous son accord celle d’Itachi. Une nouvelle fois, elle fermi la porte derrière elle et d’un pas calme, l’Akatsukienne se dirigea à la chambre de Pein. La présence de tout à l’heure n’était plus dans le couloir. Ce qui ne l’étonnait point, c’était qu’un détail parmi plusieurs. Rendu devant la porte, Konan cogna légèrement, puis ouvrit celle-ci. Comme simple lumière, une petite chandelle. Sur le lit se trouvait bien évidement un nombre. Mais elle n’en fit rien, ne dit rien. Elle se dirigea ou était situer ses trucs, les prise et se dirigea vers la sorti. Mais elle s’arrêta, non pas par elle-même. Comme si son âme voulait rester parmi cet homme et que son corps tant qu’à lui, voulait quitter cette pièce. C’est alors, que la douce soupira.

- Se putain d’Uchiha à changer mes affaires… Si je le pourrais, je le butterais se con.

Konan était bien et bel hors d’elle. Ce n’était pas le fait qu’il est changer sans sa permission ses choses, mais bien parce qu’il les avait touché. L’artiste était toujours aussi trempé, et commença en frissonner légèrement. Si elle n’alla pas se changer bientôt, elle allait couvrir une vilaine grippe ce qui ne lui tentait pas du tout. La jeune femme réussit à mettre sa main sur la poigner et de la tourner. Il ne manquait plus qu’à pousser cette planche de bois et de sortir. Mais le fait d’être aussi loin de Pein, car oui étant depuis enfant, les deux jeune gens ne c’était plus quitté. Et le fait que maintenant, elle se retrouvait au fin fond du repaire et qu’elle devrait être maintenant séparé de son ami d’enfance lui fit en quelque sorte quelque chose. Que même elle, la femme la plus froide du monde shinobi, avait un sentiment qui pouvait bien et bel vivre en elle.

~L'heure était a l'attente, l'attente de l'arrivée de celui qui avait pris la tête de l'organisation, Uchiha Itachi, cette homme sombre, et secret, celui qui avait un comportement des plus étrange, mais cela m'importait peu, tant qu'il ne se prenait pas pour un être supérieure a moi et qu'il me traitait en égal, il ne risquait pas la mort... J'avançais donc dans la grotte ou l'humidité était abondante du a la forte pluie qui s'abattait dehors, suivant de loin Konan, avançant telle une hombre a a lueur des chandelles, Konan ne semblait pas inquiète de ma présence, et elle pénétrait la pièce qui jadis lui servait de lieu de repos. Je n'avais dit aucun mot, seulement avancer a travers l'obscurité des lieux, mes pas résonnait a chaque avancer, se qui démontrait le vide des lieux, je fermais les yeux une foi devant la porte de la chambre de Konan, laissant ma cape s'égoutter sur le sol.

~Âpres un cour moment de réflexion je lâchais un léger soupire prenant la direction de ma propres chambre, longeant les mur étroit et froid du lieux humide et sombre, mes pensé était diriger vers l'inconnu, mon sens de la vie était plutôt étrange, d'où ma venu dans cette organisation au but maléfique, car oui contrairement au autre, ma venu ici était pour une cause de non guerre, tout ces hommes jadis affronter, jadis tuer n'était que dans le but que la paix reigne, et si la mort était le prix a payer pour que cela se réalisé, alors toute personne se mettant sur ma route se verrait connaître la même fin, un fin douloureuse, un mort des plus atroce... Mais a ma quête c'était ajouter un nouvelle élément, une barrière sur ma route de puissance, Le Jinchuriki de Kyuubi, celui qui avait mit fin a mon invincibilité... Celui a qui j'allais ôté la vie de la pire des manière....

~Mes pensé trouble et diverse cessèrent au moment ou j'arrivais devant la porte de boit qui contenait ma chambre, d'un geste simple j'ouvris et pénétrais la pièce sombre et vide de vie depuis de longue année, j' allumais une chandelle et la déposais prés de mon lit, la pièce était maintenant fébrilement éclairer d'une lueur éphémère comme mon âme... dans un calme et un silence très représentatif de toute mes actions, je me dirigeait vers le lieux le plus sombre de la pièce, me posant calmement sur une chaise afin de me laisser prendre par une méditation qui pourrait peut-être par la suite me prendre de sommeil....

~Mais le fut brisé par le fracas d'une main contre la porte faite de boit massif spécialement conçu pour résister a l'humidité de la grotte, j'ouvris mes yeux sans pour autant me déplacer ou bien parler. La porte s'ouvrit, dévoilant Konan sous ses vêtements trempé a cause de la pluie battante, elle semblait troublé a telle point qu'elle ne remarquait même pas ma présence, elle attrapait des vêtements sec sûrement afin de se changer et se dirigeait de nouveau vers la sorti, puis elle s'arrêtait sèchement avent d'atteindre la poignet, sont comportement était plus que étrange, âpres avoir lâcher un léger soupire, sa main atteignit enfin la poignet et ma voie se mit a résonner dans sa tête.

*Konan... Que t'arrive t-il, tu ne ma même pas détecter dans la chambre... et ton comportement avec Hidan était plus que déplacé... Si tu a a parler, je suis la...*

La pensé était mon moyen de communication préférer par le faite que seul les gens a qui je souhaitait m'adresser savait se que je disais, je n'aimais pas m'adresser au gens, surtout quand ils ne méritaient pas, bien que Konan c'était différent, une relation proche et assez complexe, un respect mutuelle, jamais de mot ou de geste déplacé... Konan était la personne a laquelle je tenais le plus au monde et j'aurais balayer toute personne lui faisant du mal, même si extérieurement je n'exprimais rien, je ne lui montrais pas mon attachement, dans tout les cas sont comportement relativement étrange m'inquiétait quelque peu...

Konan avait toujours la main sur la poigné de la porte. Se demandant le pourquoi d’un tel comportement. À vrai dire, le fait d’avoir fait le vide de tout pensé plus tôt, l’avait en quelque sorte aidé à se sentir mieux, à se sentir plus joyeuse que d’habitude. Mais toute fois, le geste qu’elle avait donné, cette attention qu’elle avait offerte à Hidan était inexplicable. Peut-être depuis ses années, sa vraiment s’en rendre compte, la kunoichi cherchait de l’attention, non, plutôt de l’affection de quelqu’un, ainsi qu’un peut de tendresse. Et se sentiment manquant faisait surement en sorte d’un tel comportement en ce moment. Il était vrai que ce geste était déplacé de sa part mais elle voulait savoir s’il était dans son assiette. De plus, s’inquiéter pour quelqu’un d’autre que Pein n’était pas elle. En fin de compte, dans cette histoire, c’était bien et bel Konan qui n’était pas là. Soudain, elle entendit une voix dans ses pensé, celle de son coéquipier.

* Konan... Que t'arrive t-il, tu ne ma même pas détecter dans la chambre... et ton comportement avec Hidan était plus que déplacé... Si tu a a parler, je suis la... *

Ça ne l’étonnait pas que le dieu de la pluie avait remarqué son comportement étrange. Et ça même elle ne comprenait rien à toute cette chose. Alors, aucune réponse à ça demande était possible. En parler non plus et même si elle voulait, le fait de parler de ses sentiments était encore autre d’elle. Et de plus, il fallait qu’elle se change bien avant d’entamer une conversation qui serait toute fois plutôt longue…

- Peux-tu te retourner…

La jeune femme regarda l’homme du coin de l’œil, puis un coup qu’il était retourné, Konan commença à se changer. Du fait par le cours instant, elle s’était sentie légèrement gêné même s’il était retourné et qu’il ne pouvait la regarder. Enfin tout vêtement sec et propre était enfilé, la belle alla accrocher sa veste munie de nuages rouges sur un petit crochet non loin d’elle. Après avoir fait cela, la petit fleure se dirigea face à celui qui occupait ses pensés pour le moment. Dans un mouvement doux, l’akatsukienne c’était assise sur le lit, face à l’homme ténébreux. Konan repoussa une mèche de cheveu bleu de son visage et déposa par la suite ses mains sur ses cuisses.

- Moi-même j’ignore du pourquoi de ce comportement étrange et déplacé. J’ai l’impression que cette marche tout à l’heure et le fait d’avoir fait le vide total de mes pensés ma rendu en quelque sorte plus légère et un peut plus joyeuse que d’habitude…

Elle marqua une pose. Le fait de parler de se qu’elle ressentait ne lui fit pas le plus grand plaisir du monde mais elle aimait mieux dire ce qu’elle pensait sur tout ça pourquoi Pein arrête de se poser des questions sur tout ça.

- Sinon, j’ai eue comme conclusion. Que depuis toutes ces années, sans vraiment m’en rendre compte, je cherchais de l’attention, non, plutôt de l’affection et des gestes tendres de quelqu’un. Et se sentiment manquant fait maintenant son effet d’un tel comportement. Bref, j’en suis pas si sur en fait… Moi, je trouve ça complètement stupide d’avoir pensé une tel chose, car j’ai jamais demandé d’être aimé ou avoir une quel conque attention…

La jeune femme s’arrêta là, trouvant qu’elle n’avait déjà dit trop. Et le fait de parler autant, elle se trouvait fatigante et c'était vraiment pas elle de parler autant. Pauvre Pein, lui qui devait la supporter presque vingt-quatre sur vingt-quatre. Et ça depuis tout jeune…

~Elle ne semblait pas troublé par ma présence, ni même ma remarque, elle se doutait sans aucun doute que j'avais repérer ces tracas , bien que je lui demandais rarement des explications, mais certaine chose méritait des réponses et sont comportement était un des c'est choses, Elle me demandait de me retourner, sans doute allait-elle se changer, une chose dans sont comportement encore plus étrange, car il était vrai que rien ne c'était passé entre Konan et moi, sa n'aurait pas été la première foi ou je la voyait nue, dans tout les cas je n'étais pas d'humeur a lui demander pourquoi cette demande, si a se jour elle avait décidé d'être pudique envers moi, je fit l'effort de me détourner légèrement.

~Le temps quelle se change je pensais, je réfléchissais au pourquoi de tout ces actes, et malgré ma divinité je ne trouvais aucune réponse a toute c'est question qui faisait travailler mon esprit, je fermais les yeux un instant, écoutant le son émit de Konan ôtant ces vêtements mêler a la pluie toujours battante sur la pierre de la grotte, cela ne faisait qu'augmenter l'ambiance plutôt étrange de la pièce. Quelque instant âpres elle semblait avoir fini, je détournais alors légèrement mon regard froid vers elle, fixant cheveux bleu retombant le long de sont visage au trait finement dessiné. Konan il fallait l'avouer était une femme très belle malgré ont visage fermer a toute émotions...

~A la fin de sont petit changement de vêtement elle parti accrocher sa veste noir au nuage rouge sur le petite porte manteau, celui-ci égouttait légèrement sur le sol déjà humide et froid de la pierre faite de pierre. Elle pris enfin la peine de me rejoindre, prenant place sur le lit qui servait me servait de lieu de repos bien que je me posait rarement sur se lit, elle était face a moi, le visage neutre, mais une mine qui n'était pas la même que habituellement, La position de la maîtresse des Origami était droite, mes mains sur ces cuisses, ces long cheveux humide coller a ces joue pale qui lui donnait un air attendrissant, du moins pour le peu que je pouvais l'être, elle se décidait enfin a prendre la parole, me laissant profiter de la mélodie qui lui servait de voie, dalleur Konan était une des rare personne don j'appréciais le son de sa voix. dans tout les cas les réponse qu'elle me donnait n'était pas clair et surprenante, voila que maintenant elle réclamait une attention particulière, physique, doux, des révélation qui me surprirent même si mon visage ne paraissait en aucun cas troubler de ces paroles. de l'attention, il était clair que se n'était pas avec moi qu'elle allait en trouver, pas que je ne voulais pas lui en donner mais plus par le faite que je en savais pas comment mit prendre, je n'étais pas un homme tendre, aiment, bien qu'au fond de moi je ressentait quelque chose de fort pour cette femme qui me suivait depuis ma toute jeunesse et qui m'avait soutenu peu importe les embûche sur cette route qui avait fait de moi l'homme que je suis, c'était pourquoi je n'aurais pas accepter qu'un homme la touche sous mes yeux, mais je en pouvais pas le faire moi même, se n'était pas moi, je ne pouvais lui offrir se qu'elle venait de me demander qui pour moi était la plus belle des manière, je fermais un instant les yeux, méditant sur les mot sorti de la bouche de la Kunoichi au origami.

~J'étais troublé, perdu par ces mots qui resonait encore dans ma tête comme un coup de point dans l'estomac, je rouvris les yeux, les posant de nouveau sur la Kunoichi, d'un geste lent je me redressais afin de la regarder de haut, de ma droiture j'aurais pue faire pas mal de chose... des chose qu'elle avait peut-être envies, des chose que je désirais intérieurement faire... La prendre dans mes bras... la caresser... l'embrasser... Mais au lieu de ça je ne fit rien si se n'étais de la regarde d'un regard impassible, ne bougeant plus, laissant le seul sifflement de l'air maître de tout les son, de toute la vie, mon regard lui transperçait d'un éclat irréel le regard de Konan....

Que dire, en ce moment, Konan voulait se tirer un bal entre les deux yeux. Elle espérait qu’il n’est pas comprit de travers, car le silence de mort qui venait de s’installer la mise dans un conflit intérieure. Oui, la kunoichi aurait bien voulut plus qu’une simple amitié… Mais déjà depuis deux ans, se sentiment avait disparut. Du fait le pourquoi elle n’était plus sur de tout. En se moment, elle voulait que la mort vienne la chercher c’était horrible comment elle se trouvait stupide. Et surtout qu’il n’avait aucune gêné normalement entre les deux shinobi, qu’aujourd’hui, Konan était puéril. Et bien en fait, elle avait ses raisons à elle. La belle ne voulait tout simplement pas se faire voir. Elle n’était pas du tout d’humeur par ces ses comportements étranges. Pein avait l’air plutôt étrange vue qu’il ferma les yeux pour surement penser à ce qu’elle venait de dire. L’artiste soupira intérieurement et se massa légèrement le front. En si peut de temps, elle c’était changer en une autre personne. Elle se demandait bien la source de se problème… Mais le vide qu’elle avait fait plutôt avait quelque peut fait ressortir de vieux sentiments dont elle avait oublié l’existence.

Soudain, Pein se releva la regardant de haut. Dans son geste, la jeune femme l’avait suivit du regard, le regardant maintenant de bas. De cette façon elle se sentait soumise, ce qu’elle détestait. Le silence régnait de nouveau en roi. La douce n’osa plus vraiment parler et même si elle le voudrait, elle avait aucune idée quoi dire. Et le silence que le dieu de la pluie dégageait ne l’aida pas non plus. Mais toute fois, cela aida à la kunoichi de retrouver son esprit froid et distant. Elle se releva à son tour. Son corps était remplis de frissons. Le fait de ne plus avoir sa veste sur les épaules et que l’endroit était humide mais à cause des parois mouillées, l’endroit était frisquet.

- Bref, je ne voulais pas te déranger pour une connerie de ce genre…

Voilà les mots qu’elle fini par dire. Elle détourna son regard tout en entamant quelque pas pour allez prendre sa veste. L’un des gestes les plus claire qui démontrait qu’elle se préparait à allez à sa nouvelle chambre. Cette chambre loin de lui… Mais elle fini par se dire qu’elle si fera à la longue. Que ce n’était pas la fin du monde. C’est vrai! De plus, ça ferait du bien à son coéquipiers de ne pas la voir sur son chemin. Tout le monde pouvait prendre congé d’un être cher…

[Hrp : Désolé pour se petit poste T___T]

~Konan semblait aussi désemparer que moi a ces propres mot, mais comment ne pas l'être quand ou ou plus ou moins ouvertement son cœur a un bloc...? Tant de question au qu'elle je ne trouvais pas de réponse, l'envie de prendre Konan dans mes bras ne manquait pas, cette femme que... Oui que j'aimais... et que je ne pouvais pas prendre dans mes bras, don je ne pouvais pas me permettre de lui avouer se que je ressentais pour elle, dalleurs comment être sur de se sentiment qui était a mon cœur encore inconnu? Moi le puissant Pein, l'invincible Pein, je me voyais comme abattu par de simple révélation, comment avais-je pu être aussi aveugle? dans tout les cas Konan se levait a sont tour, me faisant face, et me dit quelque mots, non se n'était pas stupide, chaque être avait besoin d'amour, dalleurs en y réfléchissant bien c'était peut-être cela qui m'avait rendu si faible face a l'Uzumaki, lui aimait quelque chose au plus profond de sont cœur, c'était cela qui l'avait rendu si fort. Si contrairement a tout se qu'on nous avait enseigner, contrairement a tout se qu'on nous avait montrer l'amour n'était pas une faiblesse? Si aimer Konan me rendait plus fort ainsi qu'elle? Mais j'avais cette sensation étrange au plus profond de mes entrailles, cette boule de peur qui ne pouvait partir, moi le Dieu, Pein, je connaissais la peur...

~Je fermais les yeux au parole de Konan, baissant légèrement la tête devant l'artiste, je la senti bouger, se déplacer fluidement a travers la pièce mal éclairer, elle partait, elle allait partir, s'éloigner de moi, elle qui jamais ne m'avait quitter le faisait et je ressentais les effets de se geste, quand je rouvris les yeux, elle tenait sa veste, prête a l'enfiler et a disparaître de ma vue, c'était inconcevable, elle ne pouvait pas partir comme ça, me laisser dans l'absolu solitude, elle n'était plus que la seul corde qui me retenais au gouffre sombre et mortel d'une vie absolument seul... Et oui j'avais peur d'être seul... ironique me direz vous de la part d'un homme possèdent 6 corps et pourtant aucun des corps n'était Konan....

elle avançais d'un pas nonchalant vers la porte qui donnerait la fin de cette absolu fusion de nos âmes si elle la franchissait, cas quelque seconde de me tuer sans m'attaquer, ces au moment ou la mains de la jeune femme touchait la poignet que ma voie retenti dans sa tête comme une seconde conscience.

*Konan... ne part pas...*

Des mots simple court, mais d'une absolu grandeur venant de moi, cela définissaient parfaitement mon sentiment envers elle, mon désir de la voir rester, même si on se parlait pas, la savoir prés de moi était comme le plus grand des remède pour la pire des maladie, je lâchais un soupir, espérant qu'elle reste. Mes yeux furent clos de nouveau, je ne voulais pas la voir partir, je ne pouvais le faire, je me sentais plus comme je devais me sentir, je me sentais faible devant se sentiment de solitude, elle qui avait été tout pour moi au fils des année, je la perdais par mon manque de...d'amour... Mon cœur lui agonisait, il battait de douleur a la seul pensé de la perdre...

Veste en main, Konan allait quitter Pein. Oui, pour le moment c’était cruel mais elle était forte… Quoique c’était son… Pein… Qui lui donnait cette force de rester parmi cette organisation. Mais bon, elle n’alla pas le quitter pour toujours, juste allez se reposer un peut avant de commencer une mission. La kunoichi ne prêta aucune attention sur Pein, qui lui ne semblait pas vouloir qu’elle parte si vite. Elle ignorait aussi que son départ.. Ou plutôt l’annonce de celui-ci avait mit à terre se pauvre garçon. La jeune femme voulait à tout prit se changer les idées, histoire de revenir vite fait celle qu’elle était. Tout ce qu’elle avait fait maintenant, n’était que devenu dégoûtant, lui levant presque le cœur en y repensant. Surtout le fait que sa douce peau aille touche celle de Hidan. Un frisson lui parcourra tout le dos, elle sentait que cette nuit, elle risquerait de faire des cauchemars. Oui, elle en était sur qu’en se réveillant, la belle regarderait dans un regard de panique les alentour de la pièce pour se rassurer qu’il ne serait pas là. Certes, certaine aurait bien voulu avoir la chance d’avoir fait ce que Konan avait fait… Mais pour elle ça n’était pas le cas. Groupie de ce fameux immortel, non merci !

D’un pas non chaland tout à son habitude, la petite fleure se dirigea vers la porte. Lorsque sa main toucha le poignet de celle-ci, elle s’apprêta de lui souhaité une bonne soirée et de partir. Mais Pein prit parole. Non, plutôt ses pensés. Ses quelques mots résonnèrent dans son crâne comme une conscience. Comme cette petite voix en vous qui vous dit de rester ou vous conseille de faire ceci et non cela… Et dans cette voix, bien qu’elle fût froide, vous me direz que rien ne clochait. Mais pour Konan, elle qui le connaissait si bien, elle savait que son comportement le mit…. L’artiste était stupéfait ! Jamais, qu’elle avait pu détecter dans ça voix une certaine peine, non, plutôt une peur. Peur de quoi ? La douce lâcha le poignet et se retourna en sa direction.

Il avait les yeux fermé. Son air était toujours sans émotion… Mais ce qu’il dégageait la rendit totalement coupable. Konan voulait le voir heureux… Pas dans cet état. Même que le fait qu’il lui demande de rester lui mit tout de même un peut de joie. Mais tout cela c’était estomper qu’à le voir ainsi. Rien ne pouvait se voir… Tous dirait qu’il est correcte.. Mais cela ce passait mentalement et non physiquement. Seule elle avait se dont… Cette alliance si proche envers Pein. Tout ce qu’il ressentait, elle le sentait… La petite fleure savait très bien que son cœur battait de douleur… Ce qui la mise encore plus mal. Sans se rendre compte, elle lâcha prise sur sa veste, la laissant tomber dans le plus délicat des bruits. La kunoichi se rapprocha de lui laissant une espace respectable entre eux. Voir trente centimètre, assez pour ne pas loucher en regardant l’autre face à nous. Les yeux du dieu de la pluie étaient toujours clos. Sa main droite alla au niveau de la joue droite du jeune homme. Konan essaya de démontrer un signe de tendresse me ne trouva pas le courage de le faire. Donc, elle ne peu que ressentir la chaleur que son corps dégageait. Sa main descendit, passant à quelque centimètre de du haut de la veste. Cette partie qui cachait son cou et le bas de son visage. Bref, sa main continua son chemin juste qu’au niveau de son torse et enfin dit déposer celle-ci. La jeune femme fit un sourire mais non en coin, un véritable sourire qui ma fois était étrange comme sensation. La petite fleure reprit sa main et alla la déposé sur son bras gauche. Elle inclina légèrement la tête l’air un peut gêner. Voilà, une nouvelle sensation de découvert. Konan gêné ainsi quand faisant qu’un simple sourire… Ceci était étrange mais sur ce coup, elle ne s’en voulait pas. Il le méritait tout simplement.

~Konan... Cette femme que j'avais vue grandir au même rythme que moi, celle que j'avais vue devenir forte en même temps que moi, celle que j'avais vue devenir de plus en plus belle au rythme des jours qui passe et pourtant se n'était qu'aujourd'hui, au moment ou j'allais la perdre que je le comprenais, la main posé sur la poignet, elle restait immobile, fixant droit devant elle comme une âme abandonner, m'avait-elle entendu? J'eus la réponse qu'au seul moment ou elle c'était tourné vers moi, les yeux miroitant d'un couleur reflétant un bonheur non cacher malgré sont visage neutre, du moins ces se que je me disais, ces se que j'espérais au fond de mon cœur. Meme le son de sa veste froisser tomber au sol n'éveillait pas mes sens, qui était obstruer par la penser de sont départ, même le tapement de ces pieds a chaque pas n'éveillait pas mon attention qui était diriger sur la seul tristesse de mon cœur, même le léger effleurement de chaleur de sa main contre ma peau ne me sorti pas de ma transe, seul le véritable contacte de sa main contre mon corps me sorti du précipice dans le qu'elle je m'enfonçais depuis de longue seconde.

~J'ouvris les yeux et tout se que je pensais n'être que des illusion du au désire qu'elle reste c'était révéler réel Elle se tenait droite, devant moi, ces yeux river dans les miens et pour la première foi je la voyait sourire, un vrai sourire, ces yeux plongeait dans les miens, me regardant avec des yeux écarlate magnifique, dalleur ses yeux pétillant éveillèrent en moi une chose inconnu, mon visage sombre changeait l'hombre d'un instant, il c'était illuminer de la même manière que si elle m'avait offert les clés du paradis... cela ne durait que quelque seconde, mais se fut comme une éternité de bonheur au fond de mon cœur....

~Puis se contact cessait, autant physique que mental, le faite que sa main eu quitter mon corps fut comme une véritable douleur dans mes entrailles, comme si la pire des torture avait pris place au font de mon être, et le faite que ces yeux eu quitter les miens ajoutait encore plus a cette douleur, mais... j'étais loin d'être désespérer, au moins elle était avec moi, je pouvais la sentir, la regarder... cela était comme un véritable paradis dans l'enfer de mes tourment, un contraste entre le bonheur et la douleur plutôt étrange, mais la situation était parfaite pour unir c'est deux sensation, c'est deux émotions. Je lâchais un long soupire qui mêlait mon désespoir, me demandant comment un homme telle que moi, si puissant, comparable a un Dieu pouvait-il avoir peur de cette émotion? Encore une foi je me posais une question qui n'avait nul réponse.

~Ma main se misent a bouger sans pour autant que je lui commande de le faire, elle se posait sur la joue de Konan dans une tendresse inconnu et défiant toute la nature humaine, le contacte de ma main a avec sa peau qui n'avait rien na envier a la soie fut un moment des plus agréable, doux, mélancolique, je ne savais pas pourquoi je venais de faire un telle geste, je l'avais fait et au fond de moi c'était tout se qui contait. ma main se misent a lui caresser sa peau avec une tendresse immaculé d'affection, du moins c'était le sentiment que j'avais, l'amour ressemblait a ça? Si oui alors je comprenait pourquoi il rendait plus fort, pourquoi tent de gens s'accrochait a ça, mais étais-je pers a le vivre, a l'aimer, étais-je capable de le faire comme elle le méritait? cette certitude était loin, le doute était présent et pourtant mes geste continuaient, ma main c'était placé sous sont menton, je désirais voir sont visage, voir si tout comme moi elle ressentait cette boule de bonheur au font de sont être.... Son doux visage se relevait et il fut accompagner dans baisé tendre mes court sur sont front encore humide et dégager. J'aurais été incapable d'expliquer pourquoi j'avais fait tout cela, mais encore une foi l'acte contait beaucoup plus que le pourquoi...

Konan ne bougea plus, le fait de lui avoir fait se sourire et oser le toucher l’avais mise gêné. Normalement, Pein n’aimait pas trop le contacte et même cela, elle se rappela très bien la dernière fois qu’elle lui avait sourit de cette façon. Ils étaient encore tous jeunes, la petite fleure c’était rapproché de Nagato pour lui enlever de la boue sur le visage. À vrai dire, elle se rappelait plus vraiment du pourquoi il avait cette boue à la figure, mais il en reste que quand elle lui enleva celle-ci et lui fit un joli sourire… Il avait eu le culot de l’envoyer promené. Et du fait, elle avait une certaine peur d’avoir refait la même erreur… La kunoichi fixa le sol, se demandant que faire maintenant. Il ne voulait pas qu’elle parte, son cœur battait de douleur… Mais il ne faisait rien… Elle commençait un peut à se demander pourquoi rester s’il voulait rien dire et rester ainsi dans ce silence comme toujours. Soudain, la douce écarquilla les yeux. Quelque chose de doux se produis. Le dieu de la pluie avait déposé sa main sur sa joue, le lui caressant tendrement. Konan croyait rêver, Pein faire un tel geste?! Cette journée devenait de plus en plus étrange, qu’elle croyait d’être prise dans un genjutsu!

Doucement, l’homme lui releva le menton, l’obligeant à montrer son doux visage. Dans ce geste, il alla déposer un tendre baisé sur son front qu’il lui fit perdre le sens de la raison. Qu’es-ce qu’il se passa n’avait aucun sens! Tout deux froid, sans émotion… Était maintenant dans un monde inexplicable. La petite rose alla déposer ses mains sur chaque épaule pour le repousser délicatement. Relevant la tête pour pouvoir plonger ses yeux dans le rinnegan. Que pouvait elle faire, qu’es-ce qu’elle devait dire ? La jeune femme ne savait ignorait comment du pourquoi il avait fait ce geste et également, comment réagir à ça. C’était beaucoup d’un coup.. La douce caresse sur sa joue, se baisé sur le front… Elle pouvait que croire que c’était un rêve. Pein ne pouvait faire ce genre de chose…

Dans un geste tout aussi délicat qu’il avait fait, Konan avança d’un pas. Collant contre son torse et referma ses bras autour de son corps. Seul geste qu’elle avait peu trouvé qui n’était pas trop poussé mais qui la replissa de joie et ainsi que sentir son corps, sa chaleur corporel contre celle de celui qui prenait place dans ses pensés, la mise autre que dans se monde qui était se monde de shinobi, se monde cruel dont toute guerre était vivante. Toujours dans la même douceur, la petite fleure le serra plus dans ses bras, fermant ainsi les yeux pour profiter à max ce moment qui pour elle ne pouvait exister réellement..Mais sentir son corps contre le siens la fit renaitre de nouveau… faisant connaître à la belle un nouvel sentiment. Celui qu’on dénommait amour…

Mon souffle se coupa, il se coupa au même moment que les mains de Konan eu toucher mes épaule, ma respiration repris avec saccade, je fut comme pousser vers l'arrière, mais se geste était donner avec une infini douceur, mais yeux ne cessait de suivre ceux de la Kunoichi de l'Akatsuki, j'étais toujours aussi froid, le regard vide, et pourtant mon cœur lui criait de joie. Je devais sans aucun doute être fou, mais j'étais fou d'elle bien que je n'aurais pu l'avouer en vrai, du moins pas tout de suite, je n'étais même pas sur de pouvoir un jour lui dire le simple mot 'Je t'aime'. Mon souffle repris sont tempo normal, nos deux corps était immobile comme maintenu sur place pour conserver se moment dans une image éternel, dalleurs le temps lui était au ralenti, voir arrêter. Le visage inexpressif de Konan lui dégageait une certaine sérénité, voir une joie acculer sous la pression de la montrer au grand jour.

D'un coup, le corps chaud de Konan entrait au contact du mien dans une étreinte charnel douce et puissante d'émotion, je me retrouvais serrer dans ces bras alors que quelque seconde auparavant elle était face a moi, je ne l'avais même pas vue se déplacer tellement j'eus était absorber par sont regard. j'étais immobile, entre ces bras, au contact de sont corps, un rêve éveiller, un rêve que je me serais même pas permit d'imaginer. Cette étreinte d'une douceur inégalable me fit frémir de tout mon être. Comment elle qui était si forte, pouvait être aussi fragile, moi je détestait la faiblesse et pourtant je ne pouvais qu'aimer la sensualité que dégageait sa fragilité.

Je fermais les yeux, mes bras n'avait toujours pas bouger, et pourtant je brûlais intérieurement de les déposé sur sont corps, mais une autres parti de moi m'empêchais de bouger, moi le puissant Pein je me trouvais perdu dans se sentiment qui était inconnu. La folie s'emparait de moi, mes main retrouvèrent leurs mobilité, il ne fallut pas plus d'une seconde pour que dans sont dos mais deux main se retrouve. Un frisson imitant se qui pouvait être un orgasme interne me parcouru l'échine, mes mains elles trottait au niveau de ces reins, sa tête était poser contre mon buste, je pouvais ainsi respirer l'odeur délicieuse que dégageait ces long cheveux encore trempe.

Se moment était parfait, elle méritait d'être graver pour l'éternité dans ma mémoire et j'espérais au fond de moi qu'il en soi ainsi pour elle. Plus aucun mot n'avait été prononcer, pourquoi brisé se silence parfait? surtout si se n'étais pas pour dire des mots qui méritait d'être dit et que je n'aurais su dire. Des mots telle que je t'aime, je te desire, passe ta vie a mes coter.... Tant de chose se bousculait dans ma tête, qui elle était pourtant rempli de bonheur. Je ne voulais pas que cette étreinte se termine, rester comme ça était parfait, j'étais prés a rester ainsi pour l'éternité malgré la fatigue qui me suivait depuis quelque jours.

J'avais découvert les portes du paradis, il était dans les bras de Konan, et je en contais pas descendre tout de suite de se petit nuage de bonheur, je la resserrais plus fort contre moi, humais sont odeur divine, et lui caressais les courbe de sont dos a travers sont chandail noir, le moment était magnifique, magique, nos deux etre n'étais plus dans la grottes humide, mais au fin fond des tueur des étoile, éclairer par la gigantesque boule enflammer qui servait de soleil a notre terre, une envie me pris... l'envie de l'embrasser tendrement, mais j'y résistais...